Vos questions les plus fréquentes...
Pourquoi la période gréco-romaine n'est pas prise en compte dans le netjerisme ?
La période gréco-romaine, comme son nom l'indique, a vu l'influence des civilisations méditerranéennes comme Rome et la Grèce imprégner la culture égyptienne. Ce fut aussi l'émergence d'un prestigieux centre culturel, Alexandrie.Le netjerisme s'inspire de la religion des anciens égyptiens, il prend donc préférentiellement pour référence les périodes où cette spiritualité est née, développa ses concepts majeurs et connu son âge d'or. En effet, le polythéisme gréco-égyptien comprend des syncrétismes de divinités grecques et égyptiennes spécifiques à cette période, qui font légèrement différer la religion à cette époque par rapport à ses débuts.
La période gréco-romaine, comme son nom l'indique, a vu l'influence des civilisations méditerranéennes comme Rome et la Grèce imprégner la culture égyptienne. Ce fut aussi l'émergence d'un prestigieux centre culturel, Alexandrie.Le netjerisme s'inspire de la religion des anciens égyptiens, il prend donc préférentiellement pour référence les périodes où cette spiritualité est née, développa ses concepts majeurs et connu son âge d'or. En effet, le polythéisme gréco-égyptien comprend des syncrétismes de divinités grecques et égyptiennes spécifiques à cette période, qui font légèrement différer la religion à cette époque par rapport à ses débuts.
Quelles offrandes pour les netjerou (dieux/déesses égyptiennes) ?
Si vous ne savez vraiment pas quelle(s) offrande(s) déposer sur votre autel pour le ou les visages du netjer, qui vous inspirent, il existe une solution. Au minimum offrez de l'eau (source de vie par excellence), propre évidement, et de l'encens (ou utilisez un diffuseur d'huiles essentielles, si vous êtes allergique à la fumée de l'encens). Ce sont les offrandes les plus simples et acceptées par tous les aspects du netjer. Par la suite, échangez avec d'autres pratiquants et écoutez votre intuition pour trouver, ce qui correspond aux netjerou de votre autel domestique. L'offrande peut-être une boisson, un plat, un fruit, un légume, un parfum, un objet acheté ou créé par vos soins.
Si vous ne savez vraiment pas quelle(s) offrande(s) déposer sur votre autel pour le ou les visages du netjer, qui vous inspirent, il existe une solution. Au minimum offrez de l'eau (source de vie par excellence), propre évidement, et de l'encens (ou utilisez un diffuseur d'huiles essentielles, si vous êtes allergique à la fumée de l'encens). Ce sont les offrandes les plus simples et acceptées par tous les aspects du netjer. Par la suite, échangez avec d'autres pratiquants et écoutez votre intuition pour trouver, ce qui correspond aux netjerou de votre autel domestique. L'offrande peut-être une boisson, un plat, un fruit, un légume, un parfum, un objet acheté ou créé par vos soins.
Est-ce que la consécration à une
divinité est réservée aux membres du clergé ?
Non. Une des définitions du mot consécration est "dédié à dieu" ou "dévoué à dieu". Un netjeriste expérimenté, sûr de sa spiritualité et de la relation qu'il a avec certains aspects du netjer, peut très bien décider de s'y consacrer. C'est à dire de s'engager envers eux selon des vœux, qu'il détermine après un temps de réflexion sur lui-même. Il peut ensuite inviter ses proches à un rituel ou une cérémonie, qui officialise cet engagement. Ce passage marque souvent l'adoption du titre de shemsou (suivant, compagnon) ou shemset (suivante, compagne), dans de nombreux groupes. La différence de consécration, qui existe entre un pratiquant et un membre du clergé, réside dans le fait que le prêtre/la prêtresse se consacre en plus de la/les divinités au service d'une communauté ou un groupe, dont il/elle est membre. Il/elle s'engage à rendre des services pour son groupe (ou les autres) en plus de se dévouer au divin. Dans le cadre de la piété personnelle, aucun dogme, loi, code ou texte ancien, n'interdit à un netjeriste de se consacrer à sa ou ses divinités.
Non. Une des définitions du mot consécration est "dédié à dieu" ou "dévoué à dieu". Un netjeriste expérimenté, sûr de sa spiritualité et de la relation qu'il a avec certains aspects du netjer, peut très bien décider de s'y consacrer. C'est à dire de s'engager envers eux selon des vœux, qu'il détermine après un temps de réflexion sur lui-même. Il peut ensuite inviter ses proches à un rituel ou une cérémonie, qui officialise cet engagement. Ce passage marque souvent l'adoption du titre de shemsou (suivant, compagnon) ou shemset (suivante, compagne), dans de nombreux groupes. La différence de consécration, qui existe entre un pratiquant et un membre du clergé, réside dans le fait que le prêtre/la prêtresse se consacre en plus de la/les divinités au service d'une communauté ou un groupe, dont il/elle est membre. Il/elle s'engage à rendre des services pour son groupe (ou les autres) en plus de se dévouer au divin. Dans le cadre de la piété personnelle, aucun dogme, loi, code ou texte ancien, n'interdit à un netjeriste de se consacrer à sa ou ses divinités.